Le moteur-roue 25 ans plus tard, à l’heure des changements climatiques.

Tout d’abord, pour mieux comprendre les origines et l’histoire derrière le moteur roue et son groupe de propulsion, il faut en savoir davantage sur son inventeur le grand physicien Québécois Pierre Couture. Né en 1948 à Montréal, il est l’aîné d’une famille modeste, entouré de ses 4 sœurs, il a eu la chance d’avoir des parents avant-gardistes qui ont cru en lui. Curieux, dès sa plus tendre enfance, de connaître le fonctionnement de l’univers, il étudie à l’Université de Montréal en physique nucléaire et gradue en 1975. Il commence sa carrière de chercheur à l’Université de Princeton au New Jersey et revient au Québec en 1983 au centre de recherche d’Hydro Québec à Varennes à la tête d’une équipe de douze chercheurs.

Dix ans plus tard, peu de temps après le « sommet de la terre » de Rio de Janeiro qui visait à démontrer la capacité collective à gérer les problèmes planétaires et affirmait la nécessité du respect des contraintes écologiques, le moteur roue de TM4 sortait au grand jour en décembre 1994 après plus de 12 ans de recherche. Créant une onde de choc au sein de la communauté scientifique, par sa grande avancée technologique et du côté de la population en général qui y voyait, non seulement, une grande source de fierté, mais aussi, et c’est le plus important, résolvait le problème de la trop grande dépendance des Québécois au pétrole.

Ce projet aurait ouvert la porte à une ère nouvelle dans le domaine du transport en remplaçant la vieille technologie des moteurs à explosion interne qui convertit un faible 30 % de l’énergie en poussée comparativement à 98 % pour le moteur-roue. Aucune autre technologie n’a réussi à détrôner les performances de celui-ci à ce jour. C’est à dire à quel point il est unique, bien que les recherches aillent bon train partout dans le monde étant donné que les brevets sont désormais disponibles. Aussi bien du côté d’Hydro Québec qui continue à investir de l’argent dans TM4 malgré le fait qu’ils ont détruit le moteur-roues. Qui sont ceux à l’origine du sabotage de ce projet à votre avis?  Serait-ce les mêmes qui persistent à nous vendre l’idée d’un passage obligé par une énergie de transition telle les hydrocarbures comme le gaz naturel (composé majoritairement de gaz de schiste)?

Une autre innovation de Pierre Couture, bien de son cru, le monorail Trens Québec. Celui-ci étant versatile, destiné à désengorger les routes et les ponts ainsi que les liaisons entre aéroports et centres-villes. Polyvalent, d’une grande vitesse, plus léger, moins compliqué à mettre en place que le TGV. Il s’agit de navettes individuelles suspendues. Le monorail passe à des endroits où le TGF ne peut passer. Pour plus d’informations, consultez www.trensquebec.qc.ca .

ENCOURAGEONS nos politiciens à prendre les BONNES DÉCISIONS pour le bien commun des générations présentes et futures et garder en tête les énormes avantages de la réalisation de ces projets pour tous.

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