Si on si mettait vraiment… pour l’environnement

Oui quelqu’un y croit encore ou bien on fait juste semblant? S’il vous arrive quelques fois de réfléchir à la question et de chercher des solutions à cette situation plutôt alarmante et tabou que sont les bouleversements climatiques et les impacts directs sur notre bien-être personnel, et bien, ce texte est pour vous.

Il n’y a pas de problèmes qui ne puissent être résolu, il s’agit simplement de faire preuve de maturité en les reconnaissants et nous pensons que collectivement ce pas est fait, maintenant il nous faut passer au plus vite en mode action. Comment? Et bien, vous pouvez commencer par aller voir notre site www. COACS.ca qui est dédié à regrouper en un seul endroit toutes les infos pertinentes afin de vous faciliter à faire les premiers pas vers une transition en douceur. Changer pour un mode de vie plus sain et respectueux, faites-le pour vous, car, vous êtes l’environnement…

Non il n’y aura personne pour vous réprimander si vous le faite mal ou pas du tout, la décision vous appartient, vous êtes libre. Eh oui, il est normal de se sentir dépassé ou trop insignifiant pour faire une différence, faites confiance au pouvoir de la réaction en chaîne. Comme l’a si bien dit Hubert Reeves (astrophysicien et écologiste) « Les décisions qui seront prises ces années-ci vont influencer le cours de la vie humaine pendant des milliers d’années. »

Et tant qu’on y est, pourquoi pas celle d’Albert Einstein « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. » Oui, il est facile et même habituel de banaliser, de se défiler, blâmer et de demander aux autres de faire des efforts. L’heure n’est plus aux querelles et dénis, si nous voulons vraiment sauver ce qui reste de nos ressources et éviter de nous retrouver à léguer aux suivants nos problèmes amplifiés, résultats de notre jeu de ping-pong des responsabilités. Il est immoral de renier nos devoirs en tant que locataires de la Terre des générations futures, agir sans égard aux conséquences ne sera pas un héritage très glorieux pour nos jeunes pousses qui méritent mieux, ne pensez vous pas?

Nous sommes tous des coacteurs /trices de la transition qui, faut-il le rappeler, devrait être presque achevée, mais qui pourtant commence à peine et timidement. Par notre mode de consommation et nos actions, chacun est un maillon important de la société moderne qui vit aujourd’hui dans un monde qui à les moyens et le devoir de faire les bons choix par solidarité pour ceux souffrant déjà des effets de l’industrialisation et de l’individualisme poussé à l’extrême. Il faut se rappeler notre lien avec la nature de l’époque où, avant l’ère du jetable on se contentait du nécessaire, réparerions et réutilisions tout et fabriquions et achetions le plus localement que possible. Quand on sait qu’avec la quantité de céréales nécessaire à nourrir une seule personne à partir de viande on peut en nourrir 20 avec des pousses et des germinations, dans un monde où la démographie explose, la modération s’impose d’elle-même.

Tant et aussi longtemps que l’écologie et l’économie ne seront pas considérées allant de paire, nous serons en danger. Les élus le savent, les investisseurs et les multinationales aussi; l’effondrement n’est pas économiquement et socialement souhaitable et c’est pourtant vers cela que l’on se dirige si nous ne nous attelons pas à faire cette saine et inévitable transition à la résilience au plus vite.

« Tout bonheur en ce monde vient de l’ouverture aux autres; toute souffrance vient de l’enfermement
en soi même. » Bouddha

« Soyez le changement que vous voulez voir en ce monde. » Gandhi

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